Quelle est la récompense de votre propre motivation ? Avec un sentiment de réussite, bien sûr ! Après tout, la motivation parmi nous est une bête capricieuse qui veut être courtisée. Parfois, il est là, mais il n'a pas fait de bruit depuis des jours. Mais en fait, vous avez décidé de faire quelque chose : Pour faire plus de sport, par exemple. Et nous voilà au point le plus important qui fait sortir notre motivation de sa cachette : le bon objectif.
L'objectif est l'objectif
Faire plus de sport est un objectif typique du Nouvel An, qui, comme la plupart d'entre nous le savent par expérience, se perd souvent dans les premiers jours de la nouvelle année. Voici ce qui s'applique aux objectifs : plus ils sont concrets, mieux c'est. Sinon, comment savoir si nous les avons atteints ? Il est également plus efficace de se fixer de petits sous-objectifs afin de suivre de plus près ses propres progrès. Si vous voulez commencer à courir, par exemple, vous ne devez pas viser tout de suite les distances de marathon. Au début, il ne s'agira peut-être que de quelques tours de parc, jusqu'à ce que vous amélioriez votre performance mètre par mètre. Ainsi, à chaque tour, vous vous mettez en forme pour le marathon.
La variété est ce qui compte
Les chercheurs en motivation ont découvert qu'il ne s'agit pas seulement de l'objectif en soi, mais aussi de la conception de ces objectifs et de ces tâches. La variété et la liberté d'action personnelle sont particulièrement importantes ici, car notre motivation ne se développe pas dans un corset trop serré. La liberté individuelle dans l'accomplissement de tâches ou d'objectifs partiels permet toujours à notre objectif global d'apparaître sous un jour nouveau et nous donne un bon sentiment.
Cela a du sens
Notre motivation connaît certainement une crise de sens de temps en temps. Oui, lu correctement, la question du "pourquoi" vient aussi à l'esprit pour la motivation de temps en temps. Pour activer notre motivation, nos objectifs doivent être significatifs et servir un certain but. La signification d'un objectif est décidée par chaque individu. D'autres, en revanche, peuvent nous aider à ne pas désespérer de la réalisation de nos objectifs et à changer notre perception du progrès. Le fait de savoir que quelqu'un nous observe ou même nous encourage lorsque nous atteignons un objectif stimule la motivation. C'est aussi le secret du succès de l'une ou l'autre des applications de formation bien connues sur le smartphone.
Visualisez votre objectif !
Nous savons déjà que plus l'objectif est clairement défini, mieux c'est. Mais il y a des choses qu'il faut garder à l'esprit : Par exemple, il est utile de rester motivé si vous visualisez votre objectif aussi précisément que possible. Dans la recherche sur la motivation, cela est également appelé "amorçage". Le terme vient de l'expression anglaise "to prime", que l'on peut traduire par "préparer". Il s'agit également d'un verbe, un mot dit "tun", qui indique qu'il y a quelque chose à faire. À savoir, s'activer de la meilleure façon possible, par exemple en regardant des photos de coureurs afin de les faire courir. Si vous mettez vos chaussures de course devant la porte la veille au soir et sortez votre peignoir d'entraînement, vous vous motiverez un peu plus. Essayez-le !
Trouver l'équilibre
Fixez un objectif qui ne soit ni trop léger ni trop lourd. Les exigences doivent toujours se situer dans le milieu de terrain sain, car si elles sont trop élevées, nous nous sentons facilement stressés. Mais s'ils sont trop bas, on s'ennuie. Un défi réaliste nous fait du bien et renforce nos capacités.
Vous sentez déjà ce flux ?
Le "flux" désigne l'état dans lequel les personnes sont complètement absorbées par leur tâche et atteignent ainsi une performance maximale. Ils sont tellement dans le "flux" qu'ils oublient tout ce qui les entoure et parviennent également à effacer les sentiments négatifs ou leur condition physique. Cet état a été décrit dès 1975 par le psychologue hongrois. Depuis lors, il est considéré comme un état de motivation idéal, qui peut être atteint dans le sport, mais aussi dans toutes les autres activités.
On atteint un état de "flux" surtout lorsque les compétences individuelles et les exigences sont élevées. Mieux vous pouvez faire quelque chose, plus vous avez de chances d'être absorbé par cette action. Cela semble logique, car soyons honnêtes, pratiquement aucun d'entre nous n'a senti le courant pendant le premier tour dans le parc, n'est-ce pas ? Une étude menée auprès de marathoniens a montré que le "flux" avait un effet particulièrement fort sur la motivation des coureurs : plus ils atteignent cet état à l'entraînement, plus ils courent vite. Cela a énormément augmenté leur motivation à l'entraînement, de sorte qu'ils ont complété leur formation avec minutie et ont pu améliorer leurs performances. Dans la compétition elle-même, cependant, l'état du débit n'a pas influencé la durée de fonctionnement. Se mettre dans un état de "flux" renforce donc notre motivation à long terme, mais là aussi : la dose le fait ! Tout effort doit être compensé par une détente, afin de pouvoir être efficace à long terme.
Pas de pouvoir au subjonctif
Maintenant, nous rendons simplement possible l'apparemment "impossible" et nous laissons de côté ces conjonctions désagréables : Si seulement on avait plus de temps, on... Si on pouvait partir plus tôt, on... Stop ! Il faut être strict ici : vous pouvez, si vous voulez. Et si vous mettez ces conseils en pratique, vous le ferez aussi !